– Un dicton marocain enseigne ( ironiquement ) sur le calvaire d’ironie du sort que vivent les bons laborieux travailleurs dans leur réalité quotidienne même pendant les défilés du premier mai 
🙁” un jour la misère tomba malade –personne ne lui a rendu visite sauf les bons travailleurs qui l’ont soignée et l’ont emmenée en ballade–en guise de reconnaissance elle leur a dit : ” vous êtes la bonté je ne vous quitterais jamais plus !”). Depuis quarante ans chaque année j’ai défilé pendant le premier mai soit à casa ou à Marrakech ou ailleurs sous un soleil brûlant scandant les slogans du militantisme après avoir entendu debout les interventions verbales en allocutions des secrétaires généraux et qui durent des heures;Toujours le calvaire de la misère et de routine s’attache à nous travailleurs ! SUFFIT ! Il faut faire pour changer en organisant des vraies fêtes du travail dans des grandes places publiques bien équipées d’infrastructure de confort et de bien-être ( para-solaires ,chaises ,tables ,estrades, grands écrans et artistes d’animation de satyres et d’intervenants syndicaux et politiciens..etc..)pour fêter en famille petits et grands cette mémorable journée dans ses heures entières)24h jour et nuit)
Abderrahman Kabbaj