A ELJADIDA
J’étais dans un cafétériat
Un type est venu s’asseoir près de moi
Il avait un visage semblable
A celui d’un diable
Un courant électrique m’avait pris au dépourvu
Ce qui m’a intrigué et ne m’avait pas plu
Il m’avait dit : ” La régression a pris
Les mauvais humains d’esprit
La mère couchait avec le mari de sa fille
Employant la contrainte qui brouille
Les bons progrès moraux des humains
Faisant fi des acquis civilisationnels contemporains
Revenant à ceux de l’ère primaire
Qui existaient sur terre ! “
J’ai répondu :” tout aujourd’hui régresse
Et disparaît sous l’effet de l’ignorance et ses presses !”
Puis comme il était arrivé
Il a disparu,mais c’était vrai je n’ai pas rêvé !
Abderrahman Kabbaj